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Quelle alimentation pour les insulino-dépendants ?

Les professionnels de santé s’accordent pour recommander aux personnes atteintes de diabète de privilégier une alimentation équilibrée. Celle-ci fait partie du traitement du diabète, au même titre que l’activité physique. En outre, il existe autant de diabétiques que d’individus. Il est donc essentiel, pour bien équilibrer son diabète, de se reposer sur les conseils d’un diabétologue. 

La base : une bonne hygiène de vie

Tout repose sur l’équilibre alimentaire et un rythme de vie sain. En effet, l’alimentation joue un rôle majeur pour limiter les risques de complications métaboliques. Avant de s’imposer un régime strict, il suffit parfois d’appliquer des règles de vie saine, une activité physique régulière et de varier son alimentation.

En effet, plus les aliments apportés sont variés et plus il est facile pour l’organisme de répondre à ses besoins. A contrario les aliments trop gras, sur-proteinés, sucrés et salés perturbent cet équilibre.

La prise de trois repas par jour, espacés de 4 à 6 heures permet d’équilibrer dans la journée vos apports glycémiques. Une à deux collations par jour est possible, 2 à 3h après un repas. Ainsi, vous maintenez votre glycémie dans des valeurs normales et vous limitez le risque de surdosage d’insuline. Rappelez-vous que le bolus du dernier repas est actif jusqu’à 4h après – en fonction de votre sensibilité à l’insuline. Toutefois, les collations restent facultatives.

L’index glycémique

La glycémie est l’indicateur que vous suivez tout au long de la journée. La réduction de l’apport glycémique dans votre alimentation permet d’éviter des variations importantes. A cet effet, vous devez connaître l’indice glycémique (IG) des aliments que vous consommez.

L’avantage de privilégier les aliments à IG bas est de faire baisser le taux de sucre dans le sang et donc de réguler la glycémie. Toutefois, pas de miracle, il est nécessaire d’associer à ces aliments à IG bas, une alimentation variée, des portions raisonnables et une activité physique régulière. En outre, les professionnels de santé relèvent également les limites de l’IG (article Diabète Québec).

L’index glycémique indique la capacité d’un aliment à élever la glycémie après son ingestion. 100 est la valeur donnée au glucose. Donc, plus les aliments consommés sont proches de 100 et plus ils ont un index glycémique haut.

D’autres paramètres interviennent sur l’IG des aliments. Il augmente si l’aliment est en purée plutôt qu’en morceaux, ou si vous le consommez seul. En revanche, l’IG va baisser si l’aliment est pris au cours d’un repas complet ; s’il est associé papertyper à des protéines et/ou des fibres ; s’il est consommé cru ou s’il est consommé entier et peu cuit.

Ainsi, plus vous cuisez un féculent, plus votre organisme l’absorbe rapidement. Aussi, préférez les pâtes « al dente » aux pâtes cuites plus longtemps ou trop cuites !

Index glycémique d’aliments courants – source Ameli.fr

Quelques repères

Indice < 50 – IG faible : légumes secs, pâtes, igname, patate douce, petits pois, soja, blé, flocons d’avoine, muesli, pain aux céréales, lait yaourt, légumes verts, pomme, poire, orange, pêche, éclair, chocolat noir ou au lait. J’ai 43 ans et je prends du Levitra depuis 2 ans maintenant. J’avais du mal à assumer au début, mais en voyant que j’ai des érections plus dures que jamais, j’ai rapidement changé d’avis, et depuis je ne m’en passe plus. Je commande généralement sur www.taudeetbellebranche.com/levitra-en-ligne/, c’est moins cher qu’en pharmacie.

Indice 50 – 70 – IG moyen : pomme de terre bouillie, riz, pain blanc, biscotte, croissant, pizza, betterave, abricot, melon, ananas, cookies, barres céréalières, glace, sorbet.

Indice > 70 – IG élevé : purée de pomme de terre, tapioca, semoule, corn flakes, pain complet, pain suédois, baguette, frites, carotte, gaufrette, soda, datte, bonbon.


 Pour en savoir plus :

  • Index glycémique et charge glycémique
  • International table of glycemic index and glycemic load values: 2002, The American Journal of Clinical Nutrition, Volume 76, Issue 1, July 2002, Pages 5–56,