PALO ALTO, Californie – 16 janvier 2025 – Glooko, Inc., une entreprise mondiale de santé numérique intégrée qui connecte les patients, les professionnels de santé, l’industrie biopharmaceutique et leurs partenaires commercialisant des dispositifs médicaux, a annoncé aujourd’hui que sa solution Glooko XT a été approuvée pour le remboursement par la Haute Autorité de Santé (HAS) et la Commission Nationale d’Évaluation des Dispositifs Médicaux et des Technologies de Santé (CNEDiMTS) en France. Cette décision, publiée au Journal Officiel (JO) le 26 décembre 2024¹ ², permet aux professionnels de santé d’être remboursés pour la surveillance à distance du diabète gestationnel (DG) chez les patientes non traitées par insuline.
Glooko XT : adapté au paysage de la santé français
Glooko XT simplifie la surveillance des patients à distance en fournissant aux professionnels de santé une vue complète des données de leurs patients sur le diabète, notamment les lectures de glycémie, les doses d’insuline, l’apport en glucides et leurs niveaux d’activité physique. La plateforme permet également l’échange de messages et la communication sécurisés entre les patients et les professionnels de santé, facilitant les interventions et le soutien en temps opportun.
Glooko XT en France se conforme spécifiquement à la réglementation française en matière de gestion des données de santé. Cette réglementation, parmi les plus strictes au monde, donne la priorité à la confidentialité des patients et à la sécurité des données. Glooko XT a été méticuleusement conçu pour répondre à ces exigences, notamment des fonctionnalités qui garantissent la souveraineté des données, des mesures de sécurité robustes et une conformité totale au Règlement général sur la protection des données (RGPD) et aux directives établies par l’Agence du Numérique en santé, comme indiqué dans les textes juridiques pertinents régissant les données de santé en France. Cet engagement en faveur de la confidentialité des données permet à Glooko de fournir une plateforme fiable et sécurisée aux patients et aux professionnels de santé en France.
À propos de Glooko
Glooko améliore les résultats de santé des personnes atteintes de maladies chroniques grâce à ses plateformes de soins personnalisées et digitalisées. Nos technologies éprouvées améliorent la vie en réinventant la connexion entre les patients et les professionnels de santé, en favorisant l’engagement et l’observance des patients via des thérapies numériques et en accélérant la vitesse des essais cliniques. Les solutions de Glooko sont déployées dans le monde entier dans plus de 30 pays, plus de 10 000 établissements cliniques* et s’associent pour se connecter à plus de 200 dispositifs. Avec plus de 4,4 millions de personnes dans le monde qui ont utilisé les plateformes Glooko, Glooko possède la plus grande base installée de patients atteints de diabète au monde. Glooko XT et Glooko sont des dispositifs médicaux de classe IIa certifiés conformément au Règlement européen sur les dispositifs médicaux (RDM). Pour plus d’informations, veuillez consulter glooko.com or glookoxt.com.
Contact Media:
*Ce nombre indique le nombre de cliniques de santé qui ont enregistré et téléchargé des données de santé au cours de la période de 14 ans avec l’une des solutions Glooko, qui sont le système Glooko®, Glooko XT® et le système diasend®.
Sources :
- Arrêté du 26 décembre 2024 portant inscription d’activités de télésurveillance médicale sur la liste prévue à l’article L. 162-52 du code de la sécurité sociale https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000050872057
- Arrêté du 26 décembre 2024 fixant le montant d’un forfait technique applicable à une activité de télésurveillance inscrite sur la liste des activités de télésurveillance médicale prévue à l’article L. 162-52 du code de la sécurité sociale https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000050872088
- Fédération Internationale du Diabète, 2021
- Chiefari et al., 2017
MKTG-0337
Glooko XT® est conforme au référentiel d’Interopérabilité et de sécurité des Dispositifs Médicaux numériques (DMn) de Télésurveillance, pour la prise en charge des patients diabétiques.
Vous êtes professionnel de santé, vous suivez ou vous souhaitez suivre des patients atteints de diabète en utilisant un DMn, tel que Glooko XT®. Découvrez les modalités de la prise en charge par l’Assurance Maladie.
Rappel :
Qu’est ce que la télésurveillance ? La télésurveillance permet à un professionnel médical, dit « opérateur » d’interpréter des données de santé à distance pour le suivi médical d’un patient, voire d’adapter sa prise en charge. Le professionnel médical peut être accompagné par d’autres professionnels de santé.Pour interpréter ces données, l’opérateur de télésurveillance a recours à un équipement ou logiciel dit « dispositif médical numérique ». |
Qui est concerné par la télésurveillance du diabète ?
La télésurveillance définit les profils de patients diabétiques qui peuvent en bénéficier et les professionnels de santé qui peuvent prescrire et réaliser cet acte.
Pour qui ? | Qui prescrit ? |
TYPE 1 Tous patients quel que soit l’âge, y compris les enfants (sans restriction HbA1c) | Médecin spécialiste en diabétologie-endocrinologie ou médecin pédiatre spécialisé en diabétologie |
TYPE 2 Tous patients quel que soit l’âge – 1 injection d’insuline à minima (sans restriction HbA1c) | Médecin spécialiste en diabétologie-endocrinologie, médecin pédiatre spécialisé en diabétologie, médecin spécialiste en médecine interne en association avec le diabétologue ou médecin traitant du patient en association avec le diabétologue |
DIABÈTE GESTATIONNEL Patientes traitées par insuline Patientes non traitées par insuline (remboursement en nom de marque Glooko XT) | Médecin spécialiste en diabétologie-endocrinologie, médecin spécialiste en médecine interne en association avec le diabétologue, médecin traitant du patient en association avec le diabétologue, gynécologue en association avec le diabétologue. |
NB : il est désormais possible d’inclure tous les patients pédiatriques, sans restriction d’âge.
L’acte de télésurveillance et la séance d’accompagnement thérapeutique peuvent être réalisés par le médecin seul ou en équipe : médecins et professionnels de santé paramédicaux. Des actes peuvent aussi être délégués à un professionnel de santé externe – cf paragraphe plus bas.
Les professionnels de santé paramédicaux peuvent participer à la télésurveillance soit :
- dans le cadre de leurs compétences propres,
- dans le cadre d’un protocole de coopération entre professionnels de santé,
- dans le cadre de la pratique avancée.
Quelles sont les modalités de prescription et de facturation ?
Inclusion | Renouvellement | Sortie |
1 à 3 mois | 1 à 3 mois, sans limite dans le temps | Le patient ne rentre plus dans les critèresArrêt prolongé de la remontée des données (moins de 50% de données sur deux mois) Le patient retire son consentement au partage de ses données |
Les modalités de facturation de l’opérateur
Un « forfait opérateur » rémunère le suivi médical effectué par le médecin réalisant une activité de télésurveillance. Il s’agit d’un forfait mensuel par patient. Il est facturable au terme de chaque période d’un mois ou d’un ensemble de périodes, dans la limite de 6 mois consécutifs. Un médecin peut être prescripteur et opérateur de télésurveillance.
28€ par mois / patient – Code TVB, comprenant la télésurveillance et l’accompagnement thérapeutique.
Majorations
Des majorations ont été publiées au Journal Officiel.
Que faut-il retenir ?

Les modalité de remboursement des patients
- ALD : 100% pris en charge par l’Assurance Maladie
- Non ALD : reste à charge (recueil de la carte de Mutuelle)
Quelles sont les modalités d’exercice de la télésurveillance ?
Du côté du patient
- Il doit saisir automatiquement ou manuellement ses données chaque semaine : taux de glucose (CGM, FGM ou lecteur de glycémie) et insuline (basal et bolus si stylo, débit basal et bolus si pompe).
Du côté de l’opérateur
- Une fois par semaine, il doit se connecter à la plateforme Glooko XT®. Il doit consulter les dossiers patients qui ont déclenché des alertes. Et si nécessaire apporte des ajustements au traitement.
- En cas de non remontée de données, l’opérateur doit encourager le patient à télécharger ses données. À cet égard, Glooko XT® propose la mise en place d’alerte, si les données ne sont pas remontées.
- Lors du premier mois, il réalise avec le patient une session d’accompagnement thérapeutique. Ensuite, la fréquence de l’accompagnement thérapeutique est à adapter en fonction des besoins du patient.
Comment démarrer la télésurveillance ?
- Se déclare auprès de l’ARS en tant qu’opérateur de télésurveillance sur la plateforme Démarches Simplifiées du gouvernement. Pour vous aider à compléter le formulaire, nous vous invitons à consulter le guide – lien – réalisé par la DGOS.
- Signer une convention avec Glooko stipulant le recours au dispositif Glooko XT®. Contactez-nous pour signer votre nouvelle convention de Télésurveillance.
- Prescrire une ordonnance de télésurveillance et recueillir le consentement patient
Vous avez des questions ?
Nos responsables territoriaux sont là pour vous aider à démarrer ou pour répondre à vos questions concernant le nouveau cadre législatif de la télésurveillance du diabète.
Nous sommes également à vos côtés en ligne ou par téléphone. Retrouvez des articles dédiés dans notre centre d’aide, accessible depuis la plateforme Pro.
- Email : [email protected]
- Assistance téléphonique : du lundi au vendredi de 9h à 13h et de 14h à 17h
Sources :
Arrêté du 22 juin 2023 portant inscription d’activités de télésurveillance médicale sur la liste prévue à l’article L. 162-52 du code de la sécurité sociale – Lien
Arrêté du 21 décembre 2023 modifiant l’arrêté du 16 mai 2023 fixant le montant forfaitaire de l’activité de télésurveillance médicale prise en charge par l’assurance maladie prévu aux II et III de l’article R. 162-95 du code de la sécurité sociale, ainsi que les modulations applicables à ces tarifs et la périodicité de leur révision – Lien
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Glooko XT certifications DMN de télésurveillance du diabète
Toute l’équipe est très fière de vous annoncer que la solution Glooko XT a les certifications définitives de Dispositifs Médicaux Numériques (DMN) de télésurveillance du diabète.

Délivrées par l’ANS (Agence Numérique en Santé), ces certificats attestent de notre conformité au Référentiel d’interopérabilité et de sécurité des DMN et à la description générique, dans le cadre du passage de la télésurveillance dans le droit commun.
C’est une étape très importante, elle entérine le remboursement de Glooko XT, en tant que DMN de télésurveillance du diabète, par l’Assurance Maladie.
Le cadre législatif relatif ANS
Pour rappel, l’ANS explique ce nouveau cadre législatif sur son site :
Afin de garantir l’échange, le partage, la sécurité et la confidentialité des données de santé des patients, le Référentiel d’Interopérabilité et de Sécurité des Dispositifs Médicaux Numériques de Télésurveillance du 25 juillet 2022 a évolué et s’applique désormais au large ensemble des dispositifs médicaux remboursés par l’Assurance maladie qui réalisent un traitement de données à caractère personnel au sens du règlement général sur la protection des données (RGPD).
Comme chaque année, la Société Francophone du Diabète (SFD) organise son congrès afin de réunir les professionnels de santé hospitaliers, hospitalo-universitaires, libéraux, chercheurs institutionnels… Le congrès 2023 se tient cette année au Parc des expositions de Montpellier, du mardi 21 au vendredi 24 mars. Glooko participe à cet évènement incontournable de la Diabétologie.
Toute l’équipe Glooko vous accueillera, tout le temps du congrès, sur le stand n°14, dans le hall des expositions. Nous vous y proposerons des démonstrations de la plateforme Glooko XT, anciennement DIABNEXT.
N’hésitez pas à venir également échanger avec nous sur le déploiement de la télésurveillance, à l’approche du passage de sa pratique dans le droit commun.
En outre, nous vous invitons à participer au « Forum exposant Glooko », animé par le Dr. Saïd Bekka, endocrinologue à l’Institut de Diabétologie et Nutrition du Centre (Mainvilliers 28). « Télésurveillance et systèmes de boucle fermée » sera la thématique de cette session – jeudi 23 mars à 10:10 au Forum 2.
Retrouvez sur le plan ci-dessous :
- l’emplacement de notre stand n°14
- l’espace où se tiendra notre Forum Exposant animé par le Dr. Saïd Bekka.
Cette année encore, le programme scientifique du congrès est dense et riche. En effet, il vise à couvrir tous les aspects de la diabétologie moderne des fondamentaux à la pratique clinique, en réservant une grande place aux innovations thérapeutiques, technologiques et à l’e-santé. Découvrez le programme, cliquez ici.
Pour rappel, quelques chiffres de l’édition 2022 du congrès viennent attester de l’importance de cet évènement :
- 4,300 participants
- 90 sessions
- 635 abstracts
Pour en savoir plus sur l’évènement, cliquez ici pour visiter le site dédié.
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Le 30 décembre dernier, le décret relatif à la prise en charge et au remboursement des activités de télésurveillance médicale (décret n°2022-1767) a été entériné. Qu’est-ce que cela implique pour les professionnels de santé ?
QUE DIT LE DÉCRET ?
Les activités de télésurveillance prises en charge à compter du 1er juillet
C’est officiel, la prise en charge des activités de télésurveillance médicale est entrée dans le droit commun. L’utilisation d’un dispositif médical numérique de télésurveillance, l’analyse des données et alertes transmises seront désormais remboursées par l’Assurance maladie, dans certaines conditions. Le décret du 30 décembre en précise les modalités d’évaluation et d’inscription au remboursement. Cette prise en charge ne sera effective qu’à compter du 1er juillet. L’objectif est d’améliorer le suivi des patients, leur qualité de vie et de renforcer la coordination des professionnels de santé.
Quelles pathologies sont concernées ?
Les activités de télésurveillance pouvaient être jusqu’alors prises en charge dans le cadre du programme ETAPES dans cinq situations (insuffisance respiratoire chronique, insuffisance cardiaque chronique, insuffisance rénale chronique, diabète ou patients porteurs de prothèses cardiaques implantables à visée thérapeutique). Dorénavant, toutes les pathologies pourront être concernées à condition que l’activité de télésurveillance présente un intérêt supérieur à celui d’un suivi médical conventionnel (ou au moins égal à une activité de télésurveillance déjà inscrite). C’est la HAS qui évaluera cet intérêt dans les indications en fonction de l’apport clinique, de l’impact organisationnel et de l’intérêt de santé publique. C’est ce que précise un second décret (décret n°2022-1767) paru également le 30 décembre.
EN PRATIQUE
Déclaration obligatoire des activités de télésurveillance
Tout opérateur de télésurveillance, souhaitant rentrer dans ce nouveau cadre législatif, doit au préalable déclarer ses activités à l’ARS, via une téléprocédure. L’inscription est valable pour une durée maximale de 5 ans. Toutes les activités de télésurveillance (déjà existantes et nouvelles) doivent être déclarées. Il n’y aura a priori pas besoin de multiplier le nombre de déclarations même en cas de fournisseurs différents. Dans la mesure où l’activité de télésurveillance aura été déclarée une fois. Des précisions quant à ces inscriptions devraient être apportées au printemps. Et, une communication à l’ensemble des établissements de santé devrait être organisée. Les établissements de santé peuvent continuer à utiliser la procédure actuelle (mise en place dans le programme ETAPES) jusqu’au 30 juin. Afin de gagner du temps sur l’instruction, il est cependant conseillé de déposer les dossiers dès le courant du mois de mars.
Quelle rémunération ?
Deux forfaits versés :
- l’un à l’opérateur de télésurveillance (un professionnel médical ou une structure regroupant des professionnels de santé, dont au moins un professionnel médical) – le forfait opérateur,
- l’autre, à l’exploitant ou le distributeur du dispositif – le forfait technique. Les montants seront déterminés par arrêté.
Des négociations sont en cours notamment avec les industriels.
Quelle facturation ?
Au sein des établissements de santé, la facturation des actes de télésurveillance dépendra de la situation.
- Pour les patients ayant intégré un dispositif de 6 mois avant le 1er juillet : rémunération sur le modèle économique d’ETAPES.
- Pour les patients débutant ou renouvelant une période de 6 mois à compter du 1er juillet : rémunération mensuelle, sur le modèle économique de droit commun, actuellement en cours de négociation. Attention, les structures doivent déclarer leur activité de télésurveillance à l’ARS au préalable.
Lire les décrets :
- Décret n° 2022-1767 du 30 décembre 2022 relatif à la prise en charge et au remboursement des activités de télésurveillance médicale.
- Décret n° 2022-1769 du 30 décembre 2022 relatif au contenu de la déclaration des activités de télésurveillance médicale aux agences régionales de santé.
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Le numérique a changé nos vies et nos comportements dans de nombreux domaines. Et c’est loin d’être fini avec les multiples applications de l’intelligence artificielle. La médecine et la santé n’est pas en reste. Qui n’a jamais été tenté de faire son propre diagnostic en ligne, sans passer par la case médecin ? Certaines applications vont encore plus loin qu’une simple question posée sur un moteur de recherche, comme le propose ChatGPT*, qui vous répond, dans n’importe quel style rédactionnel.
INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ET SANTÉ
La révolution médicale numérique
La médecine n’échappe pas à la révolution numérique. Ces dernières années, le numérique a bouleversé la pratique. Ainsi, le recours à la télésurveillance a contribué à stabiliser les maladies chroniques. L’emploi du digital se retrouve dans de nombreuses applications : dossiers patient électroniques, plateformes de coordination, télémédecine, téléexpertise, téléassistance, Health data hub… Avec l’intelligence artificielle (IA), les outils et applications vont encore plus loin. Aujourd’hui, notamment grâce au machine learning, voire au deep learning, des algorithmes permettent de prédire des risques, de lire des images et même de poser des diagnostics. Et ce, avec des résultats parfois spectaculaires.
Une nouvelle relation médecin-patient
L’intégration de ces outils et techniques implique une nouvelle manière d’exercer la médecine, mais aussi une relation médecin-patient différente. Le patient aussi a changé. Il est de plus en plus acteur de son parcours. Il a accès à de multiples sources d’informations (pas toujours très fiables). Son médecin n’est plus l’unique détenteur du savoir médical. Il se renseigne par lui-même, avec plus ou moins de succès, s’interroge et cherche des réponses depuis son canapé sur son smartphone.
LE CAS DE CHATGPT
En termes d’outil d’IA accessible au grand public, le ChatGPT fait grand bruit ces dernières semaines. On en a beaucoup parlé, notamment pour les devoirs de nos enfants générés en un claquement de doigt. Il n’est pas nécessairement conçu pour être utilisé à des fins médicales, cependant, les patients peuvent tout à fait s’en emparer pour obtenir un avis médical ou des conseils en matière de santé.
Qu’est-ce que ChatGPT ?
Développé par OpenAI, société spécialisée dans l’IA, ChatGPT est un modèle de langage qui génère des textes à la demande. Plus qu’un éditeur de textes, il peut simuler des conversations humaines de manière pertinente. Il a été “entraîné” avec un très large éventail de textes de tout style (journalistique, littéraire, cinématographique, télévisuel, conversationnel…). Il est ainsi en capacité de produire du contenu adapté à tout type de demande de façon cohérente. Le site n’est disponible qu’en anglais, mais génère des contenus dans de nombreuses langues, dont le français. À noter de plus qu’il s’améliore au cours du temps puisque son apprentissage se fait en continu.
Encore faut-il poser la bonne question !
Nous l’avons testé, et effectivement c’est assez bluffant ! Mais encore faut-il poser la bonne question, et ce, de manière précise. Pour une réponse pertinente, la question doit par exemple préciser le style d’écriture souhaité, le public ou le support visé, le niveau scolaire désiré ou encore le type de détails voulu. Malgré quelques répétitions (de termes), certains passages peu détaillés ou encore des tournures peu usitées (mais correctes), les textes produits sont fluides et cohérents.
Et en termes médicaux ?
Aux questions médicales, les réponses sont correctes et assez précises, tout en étant adaptées au grand public. Il est aussi rassurant de voir que ChatGPT, après avoir donné des informations scientifiques, a conclu systématiquement ses réponses à nos questions “diagnostiques” par une phrase préconisant une consultation médicale du type « Il est important de consulter un médecin pour un examen et des tests afin de déterminer la cause de ces symptômes » ou « Il est important de souligner que seul un professionnel de santé qualifié peut établir un diagnostic de diabète. Si vous suspectez un risque de diabète, il est recommandé de consulter un professionnel de santé pour effectuer les tests appropriés et obtenir un diagnostic précis ».
VERS UNE RÉGLEMENTATION
Quand l’outil IA est entre les mains du médecin, qui a appris à s’en servir, à l’interpréter et qu’il maîtrise les connaissances médicales, il peut lui fournir une aide précieuse dans sa pratique. En revanche, sorti du cadre, un patient, “profane”, pourrait l’utiliser à mauvais escient et appliquer des conseils inadaptés, voire dangereux. L’idée est donc de poser des réglementations. Le législateur a d’ailleurs développé le concept de “garantie humaine” dans la nouvelle réglementation européenne pour l’IA en santé. Cette garantie impose d’insérer dans les algorithmes d’IA des points d’intervention humaine pour limiter le phénomène de boîte noire (où l’on ne contrôle ni ne comprend le raisonnement). De plus, les dispositifs numériques en santé devront répondre à la même législation que les dispositifs médicaux instrumentaux, avec notamment un marquage CE, une évaluation clinique, et un suivi.
Il faut garder en tête que ces outils, qui peuvent se révéler très utiles, ne sont pas destinés à remplacer l’humain, mais à l’aider dans son quotidien, dans sa pratique. Et, aujourd’hui, en ce qui concerne la médecine, comme ChatGPT nous l’a confirmé, rien ne peut vraiment remplacer un examen clinique !
*Chat = conversation ; GPT = modèle de transduction de langage prédictif.
Le site est très souvent victime de son succès, et se retrouve régulièrement surchargé et donc inutilisable pendant un laps de temps variable.
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Dans le cadre du passage en droit commun, nous souhaitons revenir sur le programme ETAPES qui a permis aux services de diabétologie d’expérimenter maintenant depuis plusieurs années la télésurveillance pour leurs patients diabétiques. Comment cela se passe en pratique ? Quel bilan peut-on en tirer ? Nous faisons le tour de la question avec Gladys Gubranski, infirmière en pratique avancée au sein du service d’endocrinologie-diabétologie de l’Hôpital Bichat – Claude-Bernard à Paris, utilisant Glooko XT®, anciennement Diabnext.
DANS VOTRE SERVICE, COMBIEN DE PATIENTS SONT INCLUS DANS LE PROGRAMME ETAPES ?
Nous avons commencé ETAPES en 2018 et nous avons plusieurs centaines de patients qui sont inclus dans le programme.
QUELS SONT LES PROFILS DE PATIENTS SUIVIS ?
Il n’y a pas de profil de patients défini. Nous incluons tous les patients qui rentrent dans les critères ETAPES et qui sont relativement autonomes avec leur téléphone portable et leur système d’autosurveillance, à partir du moment où nous avons leur consentement. Si besoin, l’autosurveillance peut être prise en charge par les aidants du patient (leurs enfants par exemple qui font remonter les données et interagissent avec nous sur la messagerie ou lors des entretiens téléphoniques ou physiques en cas de besoin).
QUELS SONT VOS ARGUMENTS LORS DE L’INTÉGRATION DE VOS PATIENTS AU PROGRAMME ETAPES ?
Dans un premier temps, le diabétologue identifie les patients éligibles au programme et un rendez-vous physique individuel est organisé. C’est l’occasion de présenter le programme et d’expliquer les conditions de la télésurveillance médicale. Nous précisons au patient qui aura accès à ses données, quelles seront les personnes qui vont interagir avec lui, ce que cela implique pour lui et pour nous et, bien sûr, l’objectif de cette télésurveillance.
Un de nos principaux arguments est le fait que ce soit son médecin qui lui propose cet outil et que ce suivi sera réalisé par les membres de l’équipe qu’il connaît déjà bien et non par des personnes extérieures. Nous lui expliquons que la majorité des échanges se fait via la messagerie : il pourra nous contacter par ce biais (et inversement) quand il aura des questions sans avoir besoin de se déplacer et, consultant régulièrement la messagerie, nous lui répondrons rapidement. Pour le patient, ce n’est pas un changement radical dans sa prise en charge. Il s’agit simplement de faire remonter ses données.
Par ailleurs, le patient doit comprendre que ce n’est pas une ligne d’urgence. Nous regardons certes régulièrement ses données, mais nous ne sommes pas dessus en permanence : il s’agit d’un suivi et non d’une surveillance en direct. Il ne s’agit pas non plus de “flicage”, il peut manger un gâteau sans que nous intervenions !
En résumé, il faut vraiment voir cet outil comme un accompagnement supplémentaire dans le parcours de soin pour aider le patient à gérer son diabète et son quotidien avec moins de déplacements à l’hôpital. Cet outil permet de garder le contact avec les patients et aussi de les sécuriser. Je pense notamment aux sorties d’hospitalisation (qui sont de plus en plus précoces), une période charnière et parfois difficile, les patients se retrouvant un peu livrés à eux-mêmes avec leur insuline, leur autosurveillance… Au total, nous avons très peu de refus.
EST-CE FACILE AVEC TOUS VOS PATIENTS QUELQUE SOIT LEUR MILIEU SOCIAL ?
Une partie de nos patients sont issus de milieux défavorisés. Et cela fonctionne également bien. La précarité sociale n’impacte que très peu l’équipement en smartphone et l’accès au numérique pour ce qui concerne nos patients. Dans certains cas, il peut y avoir une barrière de la langue, mais finalement, par messagerie cela se passe bien, en passant par l’anglais parfois ou en simplifiant les messages voire grâce aux émoticons !
EN PRATIQUE, UNE FOIS INSCRIT DANS LE PROGRAMME, COMMENT SE PASSE LE SUIVI ?
Il y a trois intervenants dans le programme de télésurveillance : une infirmière d’éducation qui gère le suivi des alertes et interagit avec les patients ; une infirmière en pratique avancée (moi) qui participe au suivi des patients, en particulier avec ceux qui nécessitent un suivi plus rapproché ; et un médecin en charge de l’aspect médical de la télésurveillance. Nous recevons les données de glycémie, et les doses d’insuline (de plus en plus grâce aux stylos connectés), ainsi que les informations relatives à l’activité physique grâce à la remontée des données de podométrie.
Nous avons deux “missions“ principales. La première consiste à gérer les alertes (hypoglycémies ou hyperglycémies) qui sont transmises de manière quotidienne via l’application. Dans ce cadre, nous intervenons essentiellement par messagerie et, selon les cas, nous appelons le patient.
Parallèlement, nous effectuons un accompagnement thérapeutique mensuel afin de poursuivre le développement des compétences des patients à gagner en autonomie par rapport à leur traitement. Cette partie se fait selon les besoins et le profil du patient soit en rendez-vous physique de consultation d’éducation, soit en rendez-vous visio, soit en échanges dans l’espace parcours thérapeutique (avec fiches thématiques) de l’application.
QUEL EST LE BILAN POUR LES PATIENTS ?
D’après leurs retours, les patients sont satisfaits d’avoir accès à leur équipe de diabétologie “en direct” via l’application, et considèrent que cela allège le poids de la gestion de la maladie. De plus, comme le montrent les études, cela contribue à l’amélioration des résultats glycémiques. Finalement, il n’y a pas de contraintes supplémentaires pour le patient dans le parcours de soin tout en apportant des bénéfices en termes de qualité de vie et d’équilibre glycémique.
ET POUR L’ÉQUIPE SOIGNANTE ?
C’est assez rassurant d’avoir accès aux données des patients et d’avoir un contact facilité avec eux. La messagerie permet des échanges rapides et peu chronophages pour ajuster l’accompagnement parallèlement aux entretiens téléphoniques ou physiques.
AVEZ-VOUS DES CONSEILS POUR SE LANCER DANS LA TÉLÉSURVEILLANCE ?
Il ne faut pas rester dans des représentations qui suggèreraient que le soin à distance n’est pas du soin et que la relation avec le patient est altérée par le digital. Il faut tester par soi-même pour voir que cela nous correspond. Mais d’après mon expérience, la relation avec le patient n’est pas du tout altérée, au contraire, ça l’enrichit, d’autant que les patients et les associations de patients sont demandeurs. Nous devons nous adapter aux changements sociétaux et aux pratiques qui vont notamment vers plus de digital et répondre aux besoins et aux attentes des patients. Il ne faut pas avoir peur du numérique, même si cela nous bouscule un peu.
VOYEZ-VOUS DES PISTES D’AMÉLIORATION ?
Il est indispensable que les dispositifs soient interopérables, aujourd’hui c’est plutôt bien, mais il faudra que cela s’adapte aux évolutions constantes et rapides des dispositifs.
Ensuite, on pourrait encore élargir la télésurveillance avec de nouvelles fonctionnalités : il y a aujourd’hui un système de messagerie, de remontées des données… pourquoi pas des « lives », des ateliers d’éducation thérapeutique avec les patients, des groupes de parole… pour poursuivre l’accompagnement. Je pense par exemple à CoviDIAB qui a été mis en place pendant la pandémie, à l’initiative des Pr Boris Hansel et Pr Ronan Roussel. Le dispositif permettait aux patients et aux professionnels spécialistes en diabétologie d’interagir notamment avec des « lives ». Les patients pouvaient ainsi accéder à des données fiables et sûres communiquées par des diabétologues dans un contexte où la gestion de l’information était très compliquée et qu’on entendait tout et son contraire. Cela a vraiment bien fonctionné.
Je pense donc que si une application est capable d’offrir des moments particuliers d’interactions entre une équipe médicale et les patients, et pas seulement en individuel, cela pourrait être intéressant.
NOTE DE GLOOKO
Nous prenons bonne note des sessions lives d’accompagnement thérapeutique et proposons de travailler avec vous Gladys sur ce sujet !
La prise en charge des dispositifs médicaux numériques (DMN) de télésurveillance par l’Assurance maladie n’est pas encore effective. Toutefois, l’Agence du Numérique en Santé (ANS) a publié un arrêté du Journal officiel relatif au référentiel d’interopérabilité et de sécurité des DMN de télésurveillance. Il s’agit pour les industriels de répondre à des exigences techniques. En premier lieu, elles permettent notamment de sécuriser de manière optimale les données de santé. Nous décryptons son contenu avec vous.
À QUI S’ADRESSE LE RÉFÉRENTIEL D’INTEROPÉRABILITÉ ET DE SÉCURITÉ DES DMN DE TÉLÉSURVEILLANCE ?
Le référentiel V1 s’adresse aux exploitants de DMN de télésurveillance qui souhaitent se mettre en conformité en vue d’une inscription à la liste des DMN de télésurveillance éligible à la prise en charge par l’Assurance maladie, telle que la solution Glooko XT. Le document décrit les exigences à respecter par les industriels de télésurveillance, un ou plusieurs scénarios de conformité et des preuves à fournir par l’industriel. Les spécifications sont fondées pour la plupart sur les référentiels déjà en vigueur dans les domaines concernés. Le but est de protéger les données des patients et des professionnels de santé.
QUELLES SONT LES EXIGENCES ?
Ces exigences couvrent les domaines fonctionnels suivants :
- Identité Nationale de Santé (INS) : numéro d’identité unique et pérenne obligatoire depuis le 1er janvier 2021. Elle permet de faciliter les échanges et le partage des données de santé entre les différents acteurs. Donc, elle contribue à la qualité et à la sécurité de la prise en charge. Le DMN doit être en capacité d’intégrer l’INS de manière conforme et sécurisée. L’intégration de l’INS permet d’assurer une interopérabilité d’un point de vue technique entre les différents DMN. Ainsi, elle garantit un suivi fiable ou encore une facturation sécurisée ;
- Pro Santé Connect (PSC) : module d’identification électronique des professionnels des secteurs sanitaire, médico-social et social enregistrés au RPPS. Il leur permet de s’authentifier aux services numériques en santé en fluidifiant le parcours. Ainsi, les fournisseurs de services numériques récupère de manière standardisée l’identité du professionnel qui s’identifie au DMN. L’implémentation de PSC sera obligatoire à compter du 1er janvier 2023 pour tous les services numériques en santé. Pour résumer,ce module permet une identification fiable des professionnels de santé à l’image de France connect pour les particuliers ;
- Annuaire Santé : rassemblant les données provenant des différents répertoires nationaux (RPPS, ADELI, FINESS…). Il permet au DMN de vérifier l’identité de ses utilisateurs et de construire un annuaire fiable des correspondants ;
- Identification électronique des usagers : l’identification électronique des patients qui se connectent au DMN, voire qui accèdent à leurs données. Il doit assurer un niveau de garantie suffisant afin d’éviter un éventuel détournement ou hacking ;
- Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) et portabilité des données. La déclaration de conformité au RGPD est obligatoire pour l’exploitant. Par ailleurs, il doit s’engager à ce que le DMN permette l’export (lisible, exploitable et documenté) de l’ensemble des données de santé qu’il traite. Il s’agit de placer le patient au centre de ses données de santé. Et, il lui laisse le choix quant à leur utilisation.
DE FUTURES MISES À JOUR DU RÉFÉRENTIEL D’INTEROPÉRABILITÉ ET DE SÉCURITÉ DES DMN DE TÉLÉSURVEILLANCE ?
Une seconde version du référentiel sera mise en concertation ultérieurement (d’ici la fin de l’année). En effet, il s’agira d’intégrer des mises à jour notamment en cohérence avec Mon espace santé et pour ouvrir aux échanges en dehors des établissements de santé.
À RETENIR
- Le référentiel d’interopérabilité et de sécurité des dispositifs médicaux numériques de télésurveillance s’adresse aux exploitants de DMN de télésurveillance. Plus spécifiquement, aux exploitants qui souhaitent s’inscrire sur la liste des dispositifs éligibles à la prise en charge par l’Assurance maladie.
- Les exigences requises s’appuient pour la plupart sur des référentiels déjà obligatoires. Elles ont pour but de sécuriser au maximum les données de santé. Elles permettront l’interopérabilité des dispositifs pour faciliter les parcours.
- Aucune action n’est requise de la part des professionnels de santé. Seuls les fournisseurs de DMN sont concernés. En effet, ils doivent mettre en conformité leurs solutions pour fournir un niveau d’exigence supérieur comparativement à ce qui existe aujourd’hui.
Lire l’arrêté :
– Arrêté du 25 juillet 2022 portant approbation du référentiel d’interopérabilité et de sécurité des dispositifs médicaux numériques de télésurveillance : www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000046115270.
L’équipe Glooko sera présente aux Journées Antillaises de Diabétologie et Endocrinologie associé au congrès Innovation et Nouvelles Technologies dans le traitement du Diabète. L’évènement se tient du 19 au 21 mai en Guadeloupe. Nous échangerons sur les enjeux de l’innovation et de la télésurveillance pour une meilleure prise en charge du diabète aux Antilles.
Un moment exceptionnel de partage sur l’innovation dans le diabète
Depuis plus de 21 ans, de nombreux professionnels de santé de la diabétologie francophone s’associent à cet évènement. Chaque année, il propose un programme scientifique de grande qualité.
Les fondamentaux de cet évènement incontournable :
Le Partage : c’est un lieu de rencontres, de formation, d’échanges et de collaboration. Les acteurs de santé dans les Antilles-Guyane y rencontrent les médecins et chercheurs de Métropole.
L’Innovation : il permet de mettre à jour les connaissances scientifiques et pratiques autour de ces pathologies. C’est un enjeu vitale dans les départements d’outre-mer.
Le diabète dans les départements d’outre-mer
Le volet DOM de l’étude Entred 2007 étudie les caractéristiques et l’état de santé des personnes diabétiques traitées à la Guadeloupe et à la Martinique, en Guyane et à la Réunion. Le diabète de type 2 est la forme la plus fréquente (96 %). En outre, le risque vasculaire des personnes diabétiques de type 2 est élevé mais l’obésité est moins fréquente qu’en métropole. Le diabète est difficile à équilibrer et les traitements par insuline plus fréquents qu’en métropole. Alors que le niveau moyen d’HbA1c y est plus élevé (7,4% vs 7,1%). Le profil de complications du diabète de type 2 est différent entre les DOM et la métropole. Les complications coronariennes et les complications podologiques y sont moins fréquentes, contrairement aux complications ophtalmologiques qui sont plus fréquentes.
Globalement sur les Drom, le nombre et la densité de spécialistes, en endocrinologie, diabète est inférieure à celle de l’Hexagone. Rapportée aux besoins réels de la population, le nombre de médecins dans la spécialité est très déficitaire. Pourtant, la proportion de personnes diabétiques est globalement double de celle de la métropole, et exposée à plus de complications.
Données DREES-ASIP Santé RPPS, mises à jour le 1er avril 2016.
La télésurveillance, la compréhension des enjeux
Les solutions de télésurveillance et de suivi à distance du diabète de Glooko répondent à des besoins croissants de la population d’outre-mer. L’incidence de la maladie y est forte et l’accès aux soins y est parfois difficile. Les enjeux des innovations et de la télésurveillance sont cruciaux. Ils permettraient d’améliorer la prise en charge du diabète dans des géographies spécifiques, telles que les Antilles.
Ainsi, la compréhension du passage dans le droit commun du programme de télésurveillance ÉTAPES est donc indispensables pour les acteurs locaux. Glooko proposera lors de JADE & IDT un symposium sur ce thème le vendredi 20 mai, animé par le Professeur Michaël JOUBERT :
TELESURVEILLANCE : BILAN DE L’EXPERIMENTATION «ETAPES» ET PASSAGE DANS LE DROIT COMMUN
En savoir plus :
DIABNEXT interview tous les jours des endocrinologues, pédiatres, médecins généralistes, médecins du sport, ophtalmologiste, chercheurs, … Les interviews sont à retrouver sur notre chaîne YouTube.
- Pr Ronan ROUSSEL – Endocrinologue (Hôpital Bichat, Paris)
- Pr Jean-Pierre RIVELINE – Endocrinologue (Hôpital Laribosière, Paris)
- Pr Laurence KESSLER – Endocrinologue (CHRU, Strasbourg)
- Dr Sabine BARON – Pédiatre & Diabétologue (CHU Nantes)
- Dr Jean-Charles VAUTHIER – Médecin généraliste & du sport (
88200 Dommartin-lès-Remiremont) - Dr Pascale MASSIN – Optalmologiste (Paris)
- … en fonction de l’actualité